Elysia, Elysia je ne savais pas vraiment au fond de moi tout étais allé si vite, cela passais par notre rencontre, notre futur mariage et la découverte de ma véritable apparences de qui j’étais et de tout ce que j’avais pu faire. Pourtant et à ma plus grande surprise elle était restée à mes coté et me soutenais encore aujourd’hui mais le doute, et peut être même la peur de se sentiment qui mettais inconnue. Oui j’avais des doutes et oui j’avais peur de perdre mon mode de vie mais ne l’avais-je déjà pas fait avec mélia ?
Mon regarde étais vide, je ressentais le froid derrière mon dos remonter jusqu’à mon échine étais ce la terreur ? Non c’était un certain malaise, j’avais au jour d’aujourd’hui une famille qui était en face de moi et cette famille était la mienne. En à peine quelque seconde je ressentais l’effroi, la peur, la douleur de toute ses familles que j’avais tué, leur regard accusateur fixant le mien qui étais dénuer de sentiment. Je tentais en vain de cacher tout se mal hêtre mes main tremblais et mon visage prenais un teint très pale, je m’accoudais contre le rebord du lit en face de nous me susurrant à moi-même, je me maudissais, je revoyais chaque scène chaque seconde des flashbacks continuelle déchirant le peu de bonheur que j’avais reçu de la part de ma femme.
Elysia tenta de savoir ce qui étais arrivé à Melia, je lui racontais alors son histoire. La jeune fille avait été abandonnée en pleine forêt seul, pourtant lorsque je l’avais découverte rien ne laissais pensé que cette petite fille étais l’héritière direct de l’empire laissé par le nouveau roi autoproclamé des iles solitaire. Cette homme avais tué sans pitié sa mère devant ces propre yeux lui laissant pour seul espoir quelle pouvais être la seul à arrêter sa folie destructrice, étais donc la seul trace d’humanité que le roi avais laissé.
-« Elysia, si quelqu’un doit arrêter sa, je ne veux pas que ce soit ma fille, si quelqu’un doit se sacrifier pour la sauver pour vous sauver. J’avancerais les yeux fermé pour vous deux car toi comme elle m’a changez et aidé à être celui que je suis, je vous aime l’une comme l’autre et au fond de moi ma dernière pensé sera pour vous »
Je serais alors Elysia contre moi, ce n’étais pas pour montrer mes sentiment mais pour apaiser les peur qui s’emparait de moi, je posais ma tête sur son épaule, posant ma main sur ses cheveux je respirais à nouveau calmement oubliant tout. Me concentrant sur les battement de son cœur je restais ainsi durant de longue minute sans prononcer un seul mot.