Je parcourais le monde à la recherche d’allié, de seigneurs féodaux soutenant la cause, je menais une guerre invisible contre un ennemi présent sur tous les territoires à la fois supérieurs en équipement et en armement. La reine Dwegaz m’avait confié cette tâche, et elle me fessait horreur, ma place étais sur un champ de bataille avec mes hommes et j’étais transformer en vulgaire messager loin des conflits. Je regardais alors le brillant de glaive sous le clair de lune, Arizona avais raison sur un point cette guerre ne pourrai se terminer et commencer sans allié, les narnien devais en faire partie pour mon plus grand désespoir, leur méthode de guérilla était lâche et sans aucun honneur, mais elle fonctionnait.

La journée de négociation fut longue, je n’étais vraiment pas fait pour sa et comme tous les soirs le sommeil n’arrivais jamais, au lieu de sa je revoyais les yeux du tyran, des yeux remplit d’une haine sans fin, un démon, un roi déchu peut importais ses nombreux titre chaque nuit étais hanter par cette phrase qu’il avait prononcé « Il paraît que ton fils criait comme une fille, et ta femme comme une putain ! Quand mes hommes l’ont violée, encore, et encore, et encore ! » Ceci furent les dernier parole de Nolan Dwegaz je fus ensuite tabasser à mort et laisser pour mort sur les plages des iles solitaire. La vie est un rêve bien effrayant et chaque jour elle me le démontrait, je n’attendais plus que ce jour celui de la chute d’un tyran autoproclamer roi.

La nuit étais tombé j’étais seul dans cette petite niche au milieu de la plage, le bruit des vague s’échouant sur les falaises de Clair Paravel accompagnais une de mes prière à mon fils et à ma femme disparut « Père bien aimé, veille sur ma femme et mon fils l’épée à la main. Murmure-leur que je ne vis que pour les retrouver car tout le reste n’est que poussières. » De funeste parole pour le guerrier que j’étais auparavant mais au jour d’aujourd’hui je n’étais plus qu’une ombre un homme brisé dernier vestige d’une légion d’homme fidèle jusqu’à que l’au-delà ne les appels. Mon visage fixai la nuit étoilé, je respirais calmement au rythme de l’écho des vague fermant légèrement les yeux. Je ressentais le vent froid et humide mordre mon visage, mais quelque chose changea subitement une présence, quelqu’un arrivais. J’ouvrais à nouveau les yeux sortant de ma transe et mis la main par reflexe sur mon glaive, cette dernière reprit rapidement sa place en voyant une jeune femme arriver. Sans gêne elle s’installa à mes coté, je l’ignorai pendant quelque seconde préférant rester seul avec moi, et tant donné le lieu elle devait certainement être ici pour les même raison qui m’avais poussé ici. Je m’attardais quelque instant les trait de la jeune femme, un visage fin des yeux transperçant et inquisiteur accompagner d’une chevelure brune bouclé.
Je souriais quelque seconde, elle devait être bien plus jeune que moi et pourtant je me laissais aller oubliant tout ce qui m’avais marqué la sensation étais… assez étrange et incompréhensible. Je souriais discrètement en me disant qu’au final on avait qu’une seul vie. Je tournais mon visage vers le siens en restant très neutre

« Nous ne sommes qu’ombres et poussières. Et pourtant en regardant vos yeux j’ai l’impression de voir de l’espoir ainsi qu’une intelligence bien dissimuler mais pourtant ce n’est pas ça qui est le plus surprenant votre courage surpasse tout le reste, à peine vêtu et armer d’un arc vous venez auprès de moi qui suis armer et en armure, qui êtes-vous jeune femme ? Vous devez certainement venir ici pour les même raison que moi après tout, je vais donc vous laisser »

Je m’apprêtais à laisser la jeune et pourtant cette dernière insistait pour que je reste au près d’elle, je me rassois à ses coté toujours à fixer l’océan en face de nous, intérieurement je ne savais plus quoi penser mon esprit était vider de toute penser je savourais cette instant qui était devenue si rare. J’étais un guerrier avant tout, champ de bataille et guerre était mon quotidien et je ne vivais plus que pour cela, mais pourtant je restais un homme avant tout et je ne pouvais laisser mes espoir et mes émotion muette indéfiniment.

La jeune femme s’arrêta quelque seconde, paraissant chercher les mots les plus justes. Puis son regard plongea dans le mien des yeux aussi clair que la nuit, tout comme ceux de mon fils. Je la regardais avec la même attention tout en restant calme et silencieux.

-L’espoir en moi est pourtant mort. Mon intelligence est bien piètre .Et je ne sais si je suis courageuse. Vous m’avez inspiré confiance, ce qui est plutôt rare. Et puis, j’en ai assez de cette haine et de cette méfiance omniprésente dans nos vies !

Elle ne paraissait pas mentir, son regard ne me laissait pas douter sur le sens de ses paroles. Pourtant le manque de confiance quelle affichais me laissais penser le contraire son regard me disais tout le contraire. Peut-être le doute avait pris le dessus sur elle ?, peut-être était-elle perdue ? vivre en ces temps pour une jeune fille ne devais être tous sauf simple, et pourtant, et pourtant plus je regardais son regard et moins je voulais croire en une telle chose, elle avait peut-être le corps d’une jeune femme mais son esprit était celui d’une femme, d’une meneuse et qui plus est d’une guerrière. Je la fixai encore ne détournant toujours pas mo regard

« L’espoir survit et nait grâce à nous seul, personne ne peut les détruire ni l’anéantir, car comme le soleil chaque matin il renait et s’amplifie au fil du temps, croyez en vous, la haine est un bucher incontrôlable en constante combustion le seul moyen de l’arrêter et de garder ses même espoir et de les partager, la peur ne doit pas vous arrêter et encore moins vous découragez. Beaucoup d’homme tenterons de vous rabaissez et tenterons de vous écarter. Pourtant je suis certain qu’au fond de se cœur se cache une femme combattante et pleine d’espoir, est ce que je me trompe ? »

Je tournais à nouveau la tête, une nuit clair nous accompagnais depuis un certain temps je fixais la lune cherchant une réponse à mes interrogation, un silence voilà tout ce que j’avais. Ses cheveux boucler brillais sous la lune et amplifiais se sentiment étrange, je voulais l’ignorer ne pas l’écouter. De l’attirance oui cette jeune femme m’attira, mais trop de souvenir restait en moi, ses mêmes charbons brulant sur ma peau marqué par tant de guerre, ma femme, mon fils pardonné moi, pardonné moi. Je n’étais ni plus ni moins qu’un enfant mes sentiment me perdais et si cette jeune n’aurai pas posé cette question je serai certainement parti.

-Je ne suis rien, je crois. Rien qu’une fillette perdue dans sa misérable vie. C’est ce que tout le monde pense. Et vous, Monsieur, qui êtes vous, si les raisons pour lesquelles vous êtes ici ne vous empêchent de me répondre ?

Je me levais alors de toute ma stature et lui tournais le dos, ma cape flottais légèrement sous le vent je la détachais alors laissant simplement mon armure de cuir taillé recouvrir mon corps je pris ma cape dans ma main gauche hésitant quelque instant j’écoutais le souffle du vent guider mes parole, j’aillais pour la première depuis bien trop de temps dévoiler un fard d’eau que j’avais supporté trop longtemps. Je posais la cape en fourrure sur les épaules de la jeune femme. Je m’assis à nouveau à côté d’elle toujours aussi silencieux. Mes lèvre se mire à bouger mais aucun son n’en sorti, j’étais muet cela ne dura peut être qu’une milliseconde mais c’était bien assez pour être remarquer, je prenais alors une grande inspiration et ressayais.

« Je m’appelle Maximus D. Phoenix, j’étais le général des armée des iles solitaire, stratège et conseiller du vrai roi. Aujourd’hui j’agis contre l’autoproclamé roi Nolan sous les ordres d’Arizona Dwegaz qui n’est autre que la vrai héritière du royaume laissé par son père. »

A la fin de mon court récit je serai légèrement le poing le simple fait de prononcé le nom de se meurtrier, de ce démon assoiffer de pouvoir et de sang, la colère montais en moi, le brasier se réveillais. Ce même gout de sang et de bataille, cette soif de vengeance inassouvie, mon regard sombrais doucement mais je ne pus plonger plus dans la folie car son regard m’arrêta, ces parole stoppaient cette hélant de haine pur, ce même sentiment me fessais émerger du gouffre dans lequel je m’apprêtais à tomber.

« Vous êtes quelque chose pour moi, et vous que pensez-vous de vous ? Vous ne savez pas ? Je pense que vous avez des convictions et des espoirs pur et bienfaisant, se soir quelqu’un croit en vous, je crois en vous »

Ce n’était que des mot et pourtant je ne pouvais pas fuir mes ressentiment éternellement, je prit alors sa douce main et la posa sur mon cœur qui battais bien trop vite tout en la fixant dans les yeux

« Si vous ne pouvez croire en mes mot croyez en ce que vous pouvez voir »

Elle semblait gêner par les paroles que j’avais prononcé. Peut-être ressentais t’elle se même sentiment au fond d’elle. Je ne pus pas réfléchir plus longtemps à la signification de tous ses signes, son visage se rapprochais du mien les yeux à moitié fermé, et je ne sais pas vraiment elle se retira subitement, comme si quelque chose l’en empêchais

-Non, Non ,je ne peux pas. Je ne connais rien de vous et vous rien de moi.L’Amour est bien plus complexe que cela et puis, nous sommes encore deux malheureux inconnus sur la plage.

Un léger sourire se dessinais sur mon visage, ma main allais vers son visage don je carressais les trait délicatement et le plus tendrement possible.

-Et puis, je suis Susan Pevensie.

C’était donc ça, la vérité pouvait être dure parfois et j’avais cru durant quelque instant revoir un être proche. Un léger soupire à peine perceptible s’échappa de ma bouche. Archer de renom et lié au prince Caspien j’avais en face de moi une reine, et je n’étais qu’un vulgaire général sans force ni armée. Je voulais partir d’ici mes jambes voulurent se lever mon corps voulais fuir, pourtant je ne fit rien je la regardais encore quelque seconde et subitement je l’embrassais, cela ne dura peut être qu’une seconde mais je devais le faire. Je me retirai alors sans un bruit silencieux. Le regard sombre et dénuer de tout sentiment

-L’amour n’ai d’une première rencontre et se construit au fil du temps, il n’a ni définition ni forme pur et parfaite, c’est un argile souple qui se sculpte et s’embellit avec les personne qui le manie. Je ne cherche pas à savoir qui vous êtes ou comment un royaume vous voient, ce que je voit se soir cette une jeune fille et un homme qui par un hasard se sont rencontrer et on partager de même sentiment.

Je la regardais à nouveau, plongeant dans ses yeux bleu à la recherche du réponse, l’espoir brulais en moi mais il n’était pas le seul présent, que pouvais signifier une telle union ? Le doute oui, lui aussi menaçais il tentais de me faire fuir d’oublier tout cela. Susan, plus j’y repensais, plus je voyais son visage, ses cheveux bouclé à quoi  bon Maximus, a quoi bon. Je me battais intérieurement mais je n’avais pas encore fait se deuil en moi, mon fils et ma femme qu’aurait-il bien pu penser, ils auraient certes voulu mon bonheur mais à quelle prix ? Celui d’effacer tant de douleur et de souffrance ? J’étais perdu en quelque seconde je ne savais plus quoi faire, j’attendais une réponse de sa part pour m’orienter, pour me guider

Je me relevais, laissant ma cape sur ses épaules avec un léger sourire sur le visage. Je ne savais pas comment une femme pouvais changer autant et si directement d’avis, cela était étrange et surprenant à la fois. Ses lévre qui c’était rapprocher des miennes et si vite retirer, peut-être elle aussi était attiré, mais sa prudence devais certainement l’en avoir dérouté, peut-être que cela venais d’un manque de confiance, d’une blessure les piste pouvais être aussi variée que les couleurs du ciel. Je me retournais alors vers elle m’abaissant à son niveau. Je la fixais alors et me mit à lui parler sérieusement et en essayant de paraitre le plus franc possible.

« Je crois que nous ne sommes pas compris, alors on va repartir de zéro, Je ne suis pas amoureux de vous et je ne suis pas non plus prêt à revivre cette expérience. Ce n’est qu’une soirée rien de plus, vous êtes arrivé et m’avez demandé de rester, je ne cherche pas plus loin. De plus vous comme moi avons nos raison de venir ici et le hasard a fait que nous nous somme rencontrez, en quoi cela pouvait être un mal ? Mais le faite que vous ayez essayez de m’embrasser ne me blesse pas, et ça ne veut pas dire que vous étiez tombé amoureuse de moi non plus, je ne suis pas un adolescent, ni un guerrier je suis avant tout quelqu’un qui dirige ses homme et tente de revenir avec chacun d’eux en vie. Ce que je veux vous dire Susan, c’est que non je ne mets pas un pied dans le vide, même si la prise de risque et quelque chose d’attirant je ne peux pas le nier. »

Mon regard se fixais à nouveau sur elle, j’avais bien peur d’avoir déchainer un véritable torrent de question en elle pour preuve ses dernier mot semblais confus, j’essayais depuis de la rassurer en lui expliquant que je n’étais pas tomber follement amoureux d’elle en trente minute, mais que c’était simplement un sentiment, quelque chose qui ne se contrôle pas et qui dure quelque instant, j’avais été stupide encore une fois et le remord de n’être pas capable de maitrisé mes émotion ne faisais qu’élargir une blessure bien trop ouverte. Malgré tout je cachais tout cela, je le cachais à cette jeune femme, je le cachais à ma légion et personne ne savais vraiment pourquoi je ne parlais pas de mon passé.

« Qu’est ce qui peut vous amenez ici toute seul ? »

Je revenais doucement sur le véritable sujet qui me tiraillait depuis son arrivée, pour quelle raison avais pu t’elle arriver ici.  Je souriais dans le vide essayant d’être chaleureux et amicale au possible ne sachant pas vraiment pourquoi, la confusion n’ayant pas encore tout à fait disparu. Je me demandais ce qui pouvait l’avoir fait si subitement changé d’avis, avait-elle été blesser. Je ne savais hélas rien sur elle et tout ce qu’elle pouvait représenté m’importait peu.

Elle avait un physique avantageux je ne pouvais pas le nier, mais hélas cela ne voulait plus rien dire une fois que l’on découvrait qui était la personne, ce quelle pouvais cacher de sa personnalité ou plutôt ce qui se cachais derrières se manteau de reine qui lui avais été confié. Je n’aurai surement qu’une soirée pour en apprendre plus sur elle et découvrir la vrai Susan et qui elle était vraiment et telle que elle se voyait. Je reprenais mon inspiration tenté de creuser un peu plus la conversation.

« Je dois vous avouer aussi que je n’aime pas juger quelqu’un sur ce qu’il est dit sur sa personne ni ce qu’il peut refléter, j’aime beaucoup entendre mes hommes se décrire heu même, en général s’il essaye de me prendre pour un dupe nous réglons sa sur un combat amicale, je n’aime vraiment pas le mensonge et les belle paroles. Quel son vos qualités celons vous Susan Pevensie ? »

Ses yeux bleu, j’avais beau tenter de cacher la raison de ma venue ici, mes yeux eux ne pouvais pas mentir. Elle me fixait quelque instant et comme si elle était-elle baissa quasiment instinctivement la tête. Au même moment un petit sourire se dessinait sur mon visage. Susan semblait peut se connaitre, ou bien hésitait elle, je ne le savais pas. Elle ne put pas me dire la moindre de ses qualité, et pourtant je pouvais en voir en elle sans même le les lui demander. Elle m’appelait seigneur, je souriais encore plus car je n’aimais pas le code ni l’éthique et cela me surprenais encore plus venant de sa part. Je pris la parole répondant en quelque sorte à son interrogation.

« Ne m’appelez pas seigneur, ici nous ne sommes que deux personne au même pied d’égalité, contentez-vous de m’appeler Maximus, ou si cela vous dérange appelez-moi Phœnix c’est ainsi que mes hommes m’appelle. Vous ne pensez pas avoir de qualité ? Vous êtes courageuse pourtant comme je vous l’ai dit au début de cette rencontre, peu de femme se promène seule et si légèrement vêtu. Vous devez aussi attirer le regard de nombreux hommes, hélas pas pour ce que vous devez être intérieurement, la plupart regarde plus le masque plutôt que ce qui se cache derrière. Et ne soyez pas gêner quand je vous dit que vous êtes belle Susan, voyez sa comme un compliment, peu de femme ont la chance d’être resplendissante naturellement »

Je m’arrêtais la dessus, observant la jeune femme afin de remarquer si elle aurai le même réflexe de baisser la tête. Je gardais ce même sourire chaleureux, la situation étais amusante en soi mais aussi assez triste, les émotions étais chargé dans cette minuscule crypte et pourtant l’un comme nous essayons de percer la vérité chez l’autre sans réellement savoir pourquoi l’autre étais venu. Elle esquivait cette question et j’avais fait de même. Elle retenta une dernière fois de savoir quelle étais mes penser. Je pris une petite inspiration et commença mon récit.

« Je suis ici car depuis que j’ai quitté le royaume de l’ancien roi, je ne vis plus que dans le passé ou dans le futur. Plus rien ne me retient sur ces terre. Les guerres et les conflits de ce monde, plus rien ne me retient je ne suis plus qu’une ombres, qui parfois comme ce soir vient se reposer et repenser à sa vie cherchant des espoirs et des raisons de continuer un combat envers soi-même »

Mes parole étais chargé en émotion, mes main raclait et se resserrais sur la pierre. Des blessures invincible se rouvrais, se froid prenant le contrôle de votre corps et laissant un vide, cette sensation… Celle de voir sa femme et son fils égorger et souiller. Je serais encore plus fort cette pierre me déchirant la peau, la douleur étais bien faible en comparaison de ce que j’avais ressentie à cette instant. Je regardais à nouveau Susan les yeux vide mon visage étais sans expression et peu à peu ma main gouttais un liquide écarlate.

« Je suis désolé Susan, et ceci n’est pas de votre fautes il n’en est que de la mienne, je n’ai pas été là au bon moment et aujourd’hui j’en paye le prix chaque jour, pardonnez-moi je n’ai pas l’habitude ne partager ce genre de chose »

Je reprenais mon calme, régulant ma respiration sur le rythme des vagues, je regardais à nouveau la jeune femme m’attardant sur ses cheveux durant quelque instant et reprit enfin un léger sourire tout en reprenant la conversation

« Ne te pose pas trop de question Susan, ce que tu me dis là son l’avis des personnes les plus proches de toi, garde à l’esprit que nous forgeons notre corps avec nos émotion, nos rêve et nos espoir et pas avec l’avis de personne ni ce à quoi elles veulent nous faire ressembler. Reste libre de faire ce que tu souhaites, tu es jeune et radieuse, garde espoir rien n’est jamais perdu »